Média : Cédérom, FTP, HTTP, (DHCP en option), NFS, système de fichiers local (DOS, ext2, FFS).
Partitionnement : une seule partition utilisée vis à vis du BIOS.
Espace requis : 300 Mo suffisent pour un parefeux.
Multiboot possible avec NT, Windows, DOS, Linux etc.
Openbsd. Principes
La sécurité avant tout.
Sécurisé par défaut.
Divulgation complète et systématique des problèmes.
Audit du code continu par 12 membres.
Passe le test ``Cybercop Scanner'' de Network Associates depuis
le 1er jour.
Résolution des problèmes avant même leur annonce sur BUGTRAP.
Utilise la cryptographie.
Openbsd. Administration
Par défaut :
Avertissement par courriel aux administrateurs des changements
sur les fichiers de configuration.
Sauvegarde des anciennes versions des fichiers.
Rotation des fichiers de trace.
Mise en place des services facile.
Pages de manuels en ligne très bien écrits, à jour, avec des
explications, des exemples. Disponibles à l'identique sur le site
internet pour chaque version du système.
man afterboot est un excellent point de départ.
Openbsd. Scellement natif avec mtree
Sauvegarde des signatures (SHA), permissions, dates, etc.
Utiliser un support mis physiquement en lecture seule.
Mathématiquement impossible à corrompre.
Remplace aisément la solution Tripwire.
Openbsd. Filtrage
Filtre ipf jusqu'à la version 2.9
Filtre pf à partir de la version 3.0
Plus simple à configurer et comprendre que ipchains.
Traces au format de la commande tcpdump.
Translation d'adresse, déguisement.
Redirection de port, d'interface (filtrage transparent).
Conservation de l'état (sans repasser par les règles). Basé sur
les numéros de séquence (antispoofing, rapidité). Numéros de
séquences aléatoires de qualité.
Reprise des connexions après redémarrage du parefeux.
Blocage et retour ``tcp rst'' ou ``icmp unreachable''.
Blocage des paquets IP contenant des options.
Normalisation. Réassemblage des paquets pour empécher les
attaques par recouvrement de fragments.